15/02/2012
Pétroplus rassemblement pour l'emploi 10 février 2012
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15/01/2012
Dia - Commerce : salariés en grève, ce vendredi 13 !
Les salariés de DIA/ED étaient en grève ce vendredi, devant le magasin situé à la Mare Rouge avenue du Bois au Coq contre :
- Licenciements abusifs,
-- - Fermeture de magasins
- - Respect du droit au repos dominical des salariés.
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22/12/2011
FRALIB : solidarité face à la multinationale UNILEVER
Le concert de solidarité avec les FRALIB a été un succès. Leur route les emmène à Chambéry le 22 décembre, où l'Union locale CGT a organisé un "thé de solidarité" sur la place des Eléphants (ça ne s'invente pas !)
Forts de leurs récentes victoires juridiques, de l'appui des collectivités locales, les FRALIB mettent la pression sur leur objectif central : le redémarrage de l'activité.
Mais il n'y a pas qu'à Géménos qu'UNILEVER exploite les travailleurs. Le site des Fralib se fait l'écho d'une action menée en Allemagne, à Hambourg plus précisément, "Occupye UNILEVER", qui consiste à "dresser un campement devant le siège social d'Unilever aussi longtemps que la multinationale ne s'engage pas et par écrit à rendre les terres spoliées et détruites par son fournisseur en huile de palme Wilmar."
De son côté, l'ONG Sauvons la forêt "a remis ce même jour et en solidarité à cette initiative sa pétition « Fruit d'Or et Planta Fin - les margarines sanglantes du groupe Unilever » à la directrice nationale de communication, au siège français d’Unilever à Rueil Malmaison (région parisienne). Pour rappel, cette pétition multilingue signée par 33 000 personnes avait été provoquée par la destruction du village des victimes présentes en Allemagne."
Au Pakistan, les salariés de l'usine Lipton/Brooke Bond, (appartenant à UNILEVER) fabriquant du thé ont gagné une lutte contre leur statut précaire en 2009. Ils étaient employés par l'intermédiaire de six agences de main-d'oeuvre, avec des contrats ne leur assurant du travail qu'au jour le jour. Appuyés par la Fédération internationale de l'alimentaire, ils ont obtenu au bout de sept mois d'accéder à des contrats réguliers.
Toujours avec l'appui de la même Fédération internationale, en Inde, les salariés de Doom Dooma, entreprise de produits de soins corporels, ont gagné après quatre ans de lutte la reconnaissance de leur syndicat mais ils attendent toujours, en juin 2011, l'application de l'accord conclu avec UNILEVER, et que la direction accepte de négocier. Celle-ci n'avait pas hésité à pratiquer un lock-out de six semaines pour imposer aux travailleurs l'adhésion à un syndicat fantoche
Aux Etats-Unis, le syndicat United Steelworkers (USW) a appris en décembre la volonté d'UNILEVER de fermer son unité de fabrication de cosmétiques à Chicago. Cette fermeture débutera d'ici quelques mois et sera achevée en 2013. Au final, la perte d'emplois est estimée à 800. Le syndicat était prêt à des concessions mais s'est vu répondre par les dirigeants d'UNILEVER que l'usine serait de toute façon fermée, même s'ils travaillaient pour rien. UNILEVER avait acheté l'entreprise il y a un an.
Plus proches de nous, en Grande-Bretagne, les salariés sont en lutte contre UNILEVER qui veut bazarder leur fonds de pension censé garantir un niveau décent pour leur retraite. (Expérience qui donne à méditer...) Les différents syndicats se sont unis pour organiser le 9 décembre une grève nationale, action bien perçue par l'opinion publique britannique. L'affaire n'est pas close....
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16/12/2011
20 décembre : concert pour les Fralib !
Près de Marseille, les salarié-e-s de Fralib refusent la fermeture de leur entreprise. Un long bras de fer les oppose à la multinationale Unilever. Les syndicalistes peuvent compter sur de nombreux soutiens. Le 20 décembre, un concert de solidarité sera organisé à Gonfreville l'Orcher, venez nombreux, entrée libre...
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02/12/2011
Pôle emploi maltraite les demandeurs d'emploi et ses employés
Extraits de la déclaration CGT au CCE du 18 octobre 2011 sur la sécurité des agents dans Pôle emploi
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25/11/2011
MANIFESTATION DES PRIVES D’EMPLOI, PRECAIRES, TRAVAILLEURS PAUVRES
Comité National CGT des Privés d’Emploi
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MANIFESTATION DES PRIVES D’EMPLOI, PRECAIRES, TRAVAILLEURS PAUVRES.
SAMEDI 3 Décembre 2011 à 13h30
Départ place Gambetta à Paris (Mairie du 20ème Arr.)
LE 3 DÉCEMBRE - Moi, j’y vais !
Quand Messieurs SARKOZY/FILLON nous traitent, avec du mépris et des propositions indécentes concernant notre condition sociale, il ne faut pas baisser la garde !
Car ils ne sont que la courroie de transmission d’un gouvernement et d’un patronat qui n’a pas plus de respect.
Mais nous, chômeurs, précaires, travailleurs pauvres seront dans la rue le 3 décembre afin de manifester notre mécontentement contre les mesures d’austérité qui une fois encore vont toucher les plus démunis.
L’augmentation du chômage, la hausse du coût de la vie, des droits sociaux en berne, des entreprises et leurs emplois qui disparaissent, des logements et des loyers inabordables. Et nous, toujours sur le bord du chemin, à se faire balader par Pôle Emploi, d’un boulot précaire à l’autre – quand il y en a … !
Sinon, vogue la galère et l’hiver qui arrive, la pire des saisons pour les précaires et les foyers modestes. Les coupures d’énergie, les dépenses supplémentaires qui arrivent avec le froid.
Alors là, on dit NON
Cette fois encore il nous la faut la prime de Noël, la vraie, celle que l’on réclame depuis des années : 500 euros pour tous les demandeurs d’emploi, indemnisés ou pas.
Car les riches, eux, peuvent fêter Noël, avec tous les cadeaux que « le seigneur Nicolas » leur fait.
Des milliards, ils se sont goinfrés et sans en faire tomber une miette.....
Pendant que les nantis vont partager entre riches tous les plaisirs avec l’argent qu’ils nous ont volé, pendant ce temps, … des vieux, des jeunes, des femmes, des hommes, des gosses ont faim... La crise économique pour nous, pour eux … la crise de foie.
La rage nous prend, rien qu’à entendre ce que vivent aujourd’hui les salariés, les retraités et leurs enfants. Il y a une grande colère qui monte et le 3 décembre – chômeurs, salariés nous battrons le pavé parisien. Partout en FRANCE, préparons ce moment revendicatif, car nous sommes une force, sur qui il faut compter.
Nous voulons un emploi durable, correctement rémunéré,
Refusons la précarité, nous voulons vivre dignement
Moi, je vais y aller à cette manif et leur dire ce que je pense.
Alors camarade, on y va nombreux, tu viens aussi et avec du monde.
Tous à PARIS le 3 décembre
MANIFESTONS
TOUS ENSEMBLE,
SAMEDI 3 Décembre 2011 à 13h30
Départ place Gambetta à Paris (Mairie du 20ème Arr.)
Notre confédération sera représentée par Catherine Perret du bureau confédéral
Notre union départementale cgt a décidé de mettre en place un car pour faire de cette journée, une grande journée de manifestation pour dénoncer cette précarité qui appauvrit la France, nous sommes tous concernés.
UN CAR PARTIRA DU HAVRE : samedi 3 décembre à 8h30 Frankl
à 8h45 place d’armes à Harfleur
à 9h15 à Tancarville
à 10h15 à Rouen
s’inscrire à l’UL du Havre auprès d'Anita
drapeaux – sifflets – banderolles – trompettes tout est le bien venu pour une manif bruyante, colorée, dynamique
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23/11/2011
Vers de nouvelles batailles pour les FRALIB !
En plein 35ème congrès de l'Union locale du Havre, la bonne nouvelle tombe : la Cour d'appel d'Aix vient d'annuler les licenciements et le plan de sauvegarde de l'emploi d'UNILEVER pour liquider le site FRALIB à Gémenos. La détermination des FRALIB a payé ! Quelle que soit l'issue des batailles à venir, les salariés auront déjà gagné une amélioration de leur situation.
Mais ce n'est pas pour négocier les conditions de leur licenciement que les travailleurs de FRALIB se battent, mais pour le redémarrage de leur usine et le maintien de tous leurs emplois.
Cette victoire juridique n'est qu'une étape, elle ouvre juste la voie à une reconquête dont les FRALIB ont déjà posé les premières pierres.
Ils ont tout d'abord empêché la disparition pure et simple de leur outil de travail : sans leur vigilance constante, les machines auraient été déménagées en catimini.
Mais la force principale des FRALIB, c'est l'existence d'un plan de relance de leur activité, totalement crédible, autour duquel ils mènent un immense travail de popularisation et de quête de soutiens.
Partant du constat des importants profits réalisés depuis des années par UNILEVER sur le dos des salariés, ceux-ci revendiquent que la multinationale leur cède pour un euro symbolique :
« Ø Les bâtiments, ou qu’il crée les conditions pour la poursuite de l’activité a Gémenos.
Ø Qu’il cède l’outil industriel.
Ø Qu’il fasse les investissements nécessaires à la remise à niveau de l’outil de travail.
Ø Qu’il assure la commercialisation et la fourniture des matières premières pendant un nombre d’années suffisant à la constitution de notre propre circuit de commercialisation et d’achat de matières premières, qui nous permettra de constituer une entreprise souveraine.
Ø Et qu’il cède la marque ELEPHANT. »
Dans la grisaille actuelle, la lutte des FRALIB, emblématique à bien des égards, nous redonne espoir.
Une lutte emblématique, au niveau du courage et de la clairvoyance des 182 salariés qui tiennent tête à UNILEVER, un géant mondial : c'est possible ! (a consulter sur le site des FRALIB le récit de la mort programmée par UNILEVER de leur usine et celui des combats des salariés).
Une lutte emblématique parce qu'elle ne vise pas à « limiter la casse », mais qu'elle se propose une véritable reconquête qui passe par le contrôle collectif de l'outil de travail et des finalités de la production.
Il faut lire le projet des FRALIB pour comprendre qu'on peut opposer une autre logique économique que celle mortifère du capitalisme. Il s'inscrit, à sa mesure, dans une économie tournée vers la satisfaction des besoins humains.
Au-delà des 182 emplois sauvés, ce sont les emplois induits, c'est la vitalité économique et sociale d'un territoire qui est en jeu. C'est, à travers la marque Éléphant, l'identité d'un collectif de travail et d'une entreprise qui a depuis plus d'un siècle des racines en Provence.
C'est lutter contre l'éclatement des processus de production, car la relance de l'activité suppose de réimplanter sur le site des ateliers supprimés par UNILEVER : coupe des matières premières, aromatisation, et ...commercialisation, actuellement domiciliée en Suisse pour des raisons fiscales.
C'est un pas dans la reconquête d'une branche de notre industrie agro-alimentaire, celle des thés et infusions. C'est une connaissance fine du produit, pour un meilleur rapport qualité-prix pour le consommateur et un meilleur respect de l'environnement.
C'est, à terme, l'établissement d'autres relations avec les producteurs de thé, afin de favoriser le développement économique et social de leurs pays, et par ailleurs de relancer la production locale en herbes aromatiques.
Ce serait également une excellente occasion de réorienter utilement les subventions publiques pour soutenir l'économie !
Les FRALIB sont dans l'attente d'une table ronde pour discuter de la mise en oeuvre de leur proposition avec tous les partenaires concernés.
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23/09/2011
Le centre pénitencier du Havre en grève, Soutien aux camarades en lutte !
Depuis 3 jours le SPIP a entamé un mouvement de grève pour obtenir un renfort en effectif et dénoncer une situation rendue alarmante par le manque de personnels de tous corps et de tous grades au Centre Pénitentiaire du Havre. Les organisations syndicales se sont rencontrées ce jour et partagent le constat d'une souffrance et d'une usure qui marquent l'ensemble des personnels pénitentiaires depuis de longs mois.
Cette situation doit désormais cesser!
Afin de nous faire entendre et de permettre l'expression de tous, nos organisations appellent tous les personnels à se rassembler
Lundi 26 septembre à 06h30
pour une action de blocage devant le maison pénitentiaire ( sortie Gainneville )
APPEL A TOUS LES SYNDICATS
* en lien, le tract :INTERSYNDICALE LE HAVRE 26 sept..pdf
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